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31/05/2013

Mieux on est formé, plus on fait

Army flight medic performance of paramedic level procedures: Indicated vs performed

Bier SA et all. - J Emerg Med. 2013 May;44(5):962-9.

Of 984 interventions found to be indicated on the 406 charts that met inclusion criteria, 36% were rated as EMT-P level. Seventeen percent were indicated but not performed. EMT-Bs failed to perform indicated procedures 35% of the time vs. 3% in the EMT-P group (p < 0.001). For paramedic-level procedures, EMTBs failed to make 76% of appropriate interventions, compared to <1% in the EMT-P group (p < 0.001). Conclusions: There seems to be a substantial number of procedures beyond the scope of standard Army flight medic training being required for Army AMT missions. It seems that when advance interventions are indicated, those trained to the EMT-P level perform them significantly more often than those trained to Army standard. Conclusions: Based on the findings of this study, the authors suggest the Army consider adopting the standards required for civilian AMT

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Commentaire:Notez la part de pédiatrie

evasan

evasan

Commentaire: EMT-B = Auxilaire sanitaire. EMT P = Technicien de niveau plutôt infirmiers formés exclusivement à la gestion de soins critiques. Pas d'équivalence avec la vision française (entre infirmier anesthésiste/réa ?)

Ceci milite pour la présence dans les vecteurs d'EVASAN notamment aériens de personnels paramédicaux spécifiques habitués à la mise en oeuvre de standards de soins critiques

| Tags : evasan

29/05/2013

Vidéo laryngoscopie: Du bien, on n'est pas étonné

voies aériennes

Anesth  Analg 2013;XX:XX–XX 

BACKGROUND:The video laryngoscope (VL) has been shown to improve laryngoscopic views and first-attempt success rates in elective operating room and simulated tracheal intubations compared with the direct laryngoscope (DL). However, there are limited data on the effectiveness of the VL compared with the DL in urgent endotracheal intubations (UEIs) in the critically ill. We assessed the effectiveness of using a VL as the primary intubating device during UEI in critically ill patients when performed by less experienced operators.

METHODS:We compared success rates of UEIs performed by Pulmonary and Critical Care Medicine (PCCM) fellows in the medical intensive care unit and medical or surgical wards. A cohort of PCCM fellows using GlideScope VL as the primary intubating device was compared with a historical cohort of PCCM fellows using a traditional Macintosh or Miller blade DL. The primary measured outcome was first-attempt intubation success rate. Secondary outcomes included total number of attempts required for successful tracheal intubation, rate of esophageal intubation, need for supervising attending intervention, duration of intubation sequence, and incidence of hypoxemia and hypotension.

voies aériennes

RESULTS:There were 138 UEIs, with 78 using a VL and 50 using a DL as the primary intubating device. The rate of first-attempt success was superior with the VL as compared with the DL (91% vs 68%, P < 0.01). The rate of intubations requiring ≥3 attempts (4% vs 20%, P < 0.01), unintended esophageal intubations (0% vs 14%, P < 0.01), and the average number of attempts required for successful tracheal intubation (1.2 ± 0.56 vs 1.7 ± 1.1, P < 0.01) all improved significantly with use of the VL compared with the DL. 

CONCLUSIONS:UEI using a VL as the primary device improved intubation success anddecreased complications compared with a DL when PCCM fellows were the primary operators. These data suggest that the VL should be used as the primary device when urgent intubations are performed by less experienced operators.

| Tags : intubation, airway

26/05/2013

Plasma lyophilisé: Une réalité

Le Service de Santé des Armées a recours depuis de nombreuses années (1, 2) à une présentation originale de plasma thérapeutique le PLYO.

Initialement réservé à un emploi en opérations extérieures, il vient d'être validé sous contraintes pour un usage sur le territoire national: Le plasma lyophilisé (PLYO) est principalement distribué aux unités médico-chirurgicales militaires déployées en Opérations Extérieures (OPEX) pour répondre aux contraintes logistiques du contexte opérationnel et à la nécessité de disposer,  sans délai, de plasma pour le traitement des blessés hémorragiques. En milieu civil, le PLYO pourrait être  utilisé par les établissements de santé présentant des difficultés logistiques majeures ne permettant pas  d’assurer une chaîne du froid négative ou au cours de situations d’extrême urgence avec nécessité d’un apport de plasma thérapeutique sans délai. Dans cette deuxième indication, le PLYO devrait être utilisé en  attendant que le plasma frais congelé soit décongelé et disponible. Le plasma lyophilisé français (PLyo®) préparé préférentiellement à partir de plasma frais congelé traité par l’amotosalen. Il est obtenu par lyophilisation à partir d’un mélange de PFC-IA issus d’aphérèse, provenant de dix donneurs différents au maximum, de groupes sanguins A, B, et AB, exempts d’anticorps immuns anti-A ou anti-B, conservés à une température inférieure ou égale à −25 °C.

Il en existe d'autres. Le plasma lyophilisé sud-africain (Bioplasma®) est le seul équivalent au monde du plasma lyophilisé français du fait de son universalité. Il s’agit d’un produit sud-africain bénéficiant d’une autorisation nationale depuis 1994 et commercialisé depuis 1996. Ce plasma est lyophilisé, universel et traité par solvant-détergent. Il existe en deux formats de flacon : 50 ou 200 mL. Le plasma lyophilisé allemand (LyoPlas N-W®), produit par le service de transfusion sanguine de la croix rouge allemande, provient d’un seul donneur de sang total ou d’aphérèse. Il n’est donc pas universel au regard de la compatibilité ABO. Le produit est sécurisé par quarantaine de quatre mois. Il peut être stocké 15 mois entre +2 et +25 °C.

Une révue récente fait le point sur les divers plasma thérapeutiques disponibles.

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| Tags : coagulopathie

23/05/2013

BIG: Du nouveau et en MIEUX

La mise en place d'un abord intra-osseux peut faire appel à une aiguille de Jamshidi, le Bone Injection Gun ou BIG et l'EZ-IO. Le BIG est un dispositif à impaction dont l'efficacité est reconnue mais dont le maniement peut être délicat. La société PersysMedical propose une novelle version du BIG qui corrige certains défauts. La clavette de sécurité est remplacée par un dispositif de sécurité beaucoup plus pratique, il n'est pas possible d'initier la percussion tant que le dispositif n'est pas plaqué à 90° contre une surface plane. Enfin ce déclenchement nécessite une poussée important puis l'attraction du corps du dispositif évitant ainsi un déclenchement intempestif du système.

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| Tags : intraosseux

Ballistic trauma. A practical guide

Ballistic trauma. A practical guide

| Tags : balistique

Atlas de dermatologie

La prise en charge de pathologies cutanées est habituelle en OPEX. Un domaine dans lequel tout le monde n'est pas forcément très à l'aise. Le lien proposé peut vous apporter uen aide.

ABC of Dermatolgy - 4 Ed

- Color atlas of dermatopathology

| Tags : dermatologie

05/05/2013

Echographe: Bien régler pour bien voir

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| Tags : échographie